Et si l'homme n'était pas un loup pour l'homme?

Selon certains écolos, souvent nostalgiques du communisme et totalement dogmatiques, l’homme est un parasite irresponsable qui détruit son environnement, la nature, … qui consomme trop, se déplace trop, … La terre se réchauffe à cause de l’homme, la population augmente, l’agriculture ne pourra pas nourrir tout le monde, les hommes néfastes détruisent tout sur la planète, …

Au secours ! Nous sommes proche du cataclysme, il y a urgence !!

Oups, mais alors doit-on stopper la croissance, les progrès techniques et scientifiques, au risque de limiter l'évolution des pays en voie de développement ou d’appauvrir nos pays ou doit-on aller jusqu’à limiter les naissances? 

Effectivement, dans les pays pauvres,  il n’y a pas beaucoup d’usine, donc pas de travail, pas de voiture, pas de déplacement, pas de consommation inutile d’énergie… il est clair que l’on émet alors moins de CO2. Mais l’on émet aussi moins de CO2 lorsque notre pays s’enrichit, évolue, lorsque l’on peut remplacer, par exemple, la fioul par le gaz ou le charbon, énergie simple et accessible mais aussi principale source d’émission de GES, par d’autres énergies, moins polluantes et peu chères comme le nucléaire.

Reconnaissons tout de même que nous vivons, aujourd’hui, dans un monde beaucoup plus propre que dans les années 80. Un monde dans lequel la nature est aussi préservée et respectée : entre 1990 et 2005 la surface des forêts a augmenté en Europe de façon importante, à hauteur de la taille de la Grèce.

Alors ? Et si l’on arrêtait d’écouter ces scénarii catastrophes ?

Et si tout cela était faux !

Et si protéger l’environnement, c’était avant tout respecter la vie et l’homme et ainsi ne pas s’opposer à son développement ?

Et si les variations climatiques faisaient tout simplement parties du cycle d’évolution de la Terre ?

Bref, et si l’on voyait tout simplement les choses différemment?

C’est ce que nous propose, entre autre, Mr Furfari, Docteur en Sciences Appliquées, conseiller à la direction générale de l’Energie à la commission Européenne. C’est homme que j’ai eu la chance de rencontrer lors de son dernier passage sur Annecy, pense, lui, que l’homme est intelligent et respectueux de son environnement, que l’on ne peut pas parler de réchauffement climatique, tout comme il est impossible de prédire le climat futur.

Je vous laisse le soin de découvrir son article en cliquant sur le lien ci-dessous :

Institut TURGOT - Collectif Climat

Quoi qu’il en soit, moi, je ne suis pas scientifique mais je suis profondément écolo, et ravie de pouvoir, enfin, partager une vision positive sur les êtres humains que nous sommes et sur notre avenir !