Session Régionale du 29 Juin 2017
Veuillez trouver, ci-dessous, le programme de la session régionale de ce jour :
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Veuillez trouver, ci-dessous, le programme de la session régionale de ce jour :
Etre élu(e) n’est pas un statut qui doit nous faire oublier qui nous sommes, d’où l’on vient.
Etre élu(e) ne signifie pas, ne plus avoir d’opinions personnelles, en dehors de l’institution dans laquelle on siège. Bien au contraire !
Je suis avant tout une femme libre, une mère, active, engagée et passionnée.
Je suis née sur ce territoire que j’aime, j’y habite, travaille, élève mes enfants, …
Je le connais, je connais ses habitants. Je partage leurs problématiques, leurs envies.
Ainsi, que je siège à Lyon ou à Paris, si les Hauts-Savoyards m’accordent leur confiance les 11 et 18 Juin prochains, les dossiers locaux intéresseront toujours la citoyenne que je suis et que je resterai.
Par ailleurs, des lois nationales et/ou des politiques régionales dépendent les décisions et investissements locaux tributaires des cadres et financements des autres collectivités.
Et, … des décisions que les élus locaux prendront aujourd’hui, dépendra l’avenir de notre territoire : développement de zones économiques, schémas de déplacements (train, voies cyclables, parking relais,), investissements structurants (université, centre des congrès, …), construction de logements, de crèches, d’EHPAD, … protection de notre environnement, …
Nombreuses sont les décisions qui doivent être prises et multiples sont leurs impacts.
En termes de déplacements par exemple, nous devons permettre, à chacun, de se déplacer de façon fluide et simple. Il en va de l’avenir de notre développement économique et touristique. (Lorsque l’on ne peut pas accéder à une ville, à un commerce on fait demi-tour et on va consommer ailleurs.) Mais il en va aussi de la protection de notre environnement.
Le tunnel sous le Semnoz, n’est entendable que si sa réalisation est accompagnée d’une voie de BHNS (Bus à Haut Niveau de Service) efficace.
Cela signifie aménager des parking relais clairement identifiés et accessibles, et mettre en place des tarifs et des cadencements incitatifs pour que prendre le bus devienne plus pratique et moins couteux que prendre son véhicule individuel.
Développer les modes de déplacements doux et protéger notre environnement c’est aussi aménager des pistes cyclables sécurisées, étudier la possibilité de mettre son vélo dans le bus, créer des emplacements sécurisés pour stationner son vélo, …, encourager le covoiturage.
Pour protéger notre environnement, il en va de même, nous devons agir sur les trois principales sources de pollution : chauffage et habitations, industrie et transports, en répondant aux problématiques actuelles mais en pensant aussi aux modes de consommation, de vie, de demain, en ayant une vision transversale de l’environnement à travers toutes nos décisions.
Les réponses sont les appels à projet nationaux air-bois, air-industrie, les initiatives locales telles que « j’éco-rénove ma copro », la Recherche et Développement, l’innovation sur les véhicules hybrides, la méthanisation, le développement des ENR, le nucléaire, … le développement du ferroviaire pour les passagers et le fret tels que le doublement de la voie ferrée Aix-Annecy, le Lyon-Turin, …
Comme vous le voyez, à une question, il n’y a jamais une réponse unique mais toujours une combinaison de solutions.
La connaissance du terrain, des questions locales, des dossiers sont indispensables à la construction d’une vision politique pragmatique et réaliste.
C’est cette vision, cette connaissance qui permet ensuite d’amender et de voter des lois et des rapports applicables répondant bien à la réalité et aux besoins de chacun de nous et non uniquement à un programme électoral national défini par des technocrates parisiens, certainement brillants intellectuellement, mais qui n’ont jamais exercé de mandat local et qui ne connaissent absolument rien aux besoins de français, comme vous et moi.
Je vous prie de trouver, en cliquant ICI, le compte rendu de la session du 29 juin 2015 au sein du Conseil Régional.
Au programme : le comte administratif, la détermination du chef lieu provisoire du siège de la nouvelle région et la SPL OSER
AP 29 juin 2015 - Intervention d'Annabel ANDRÉ... par UDC-App
Je vous en souhaite une bonne lecture et écoute.
:=)
Veuillez trouver, ci-dessous, mon intervention de ce jour, au nom des 40 élus de la droite et du centre, sur la SPL OSER.
"Mr le président, chers collègues,
Vous avez décidé en octobre 2012, en partenariat avec dix autres collectivités, la création de la SPL d’Efficacité énergétique OSER dédiée à la réalisation de projets de rénovation énergétique performants.
Les fonds de cette SPL sont détenus à 100 % par des collectivités actionnaires, et la SPL intervient exclusivement pour et sur le seul territoire des collectivités actionnaires selon les conditions d’un fonctionnement « in house », avec des modalités d’interventions dispensées de toute publicité et de toute mise en concurrence préalable.
Les collectivités actionnaires, représentées au conseil d’administration et aux assemblées générales doivent exercer sur la SPL un contrôle, analogue, à celui qu’elles exercent sur leurs propres services.
Comme le confirme l’arrêt de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) «Econord» du 29 novembre 2012, pour être regardée comme exerçant un tel contrôle conjointement avec la ou les autres personnes publiques également actionnaires, la collectivité qui « utilise » les services de la SPL doit nécessairement participer, non seulement, à son capital mais également aux organes de direction de cette société.
Afin d’aller au-delà de ces obligations, vous avez renforcé le rôle de l’assemblée spéciale qui regroupe les actionnaires qui ont une participation au capital trop réduite pour leur permettre d'être directement représentées au Conseil d’Administration. Vous avez également créé un comité des engagements et des investissements (CEI) qui émet un avis sur les projets et décisions d’investissements.
Aujourd’hui, vous souhaitez que les actionnaires puissent exercer une influence déterminante sur les objectifs stratégiques et sur les décisions importantes de la SPL. Vous nous proposez de renforcer les prérogatives du Comité des Engagements et des investissements (CEI) en prévoyant la représentation de l’ensemble des actionnaires avec voix délibérative au sein de ce comité.
Ces modifications ne renforceront pas la notion de contrôle analogue qui existe déjà puisqu’en pratique, c’est le conseil d’administration qui détermine les orientations de l’activité de la société, dans le cadre de la stratégie définie par les collectivités territoriales et leurs groupements actionnaires, et veille à sa mise en œuvre. C’est donc, il faut le rappeler, au travers du conseil d’administration que le contrôle analogue s’exerce.
Le point I de la délibération est ainsi une pure formalité administrative qui, selon vous, devrait rassurer vos partenaires. Si nous avons un fort doute sur le fait de rassurer vos partenaires, nous ne doutons pas du fait que cela donnera moins de latitude, sur la SPL, à la région Rhône-Alpes pourtant largement actionnaire majoritaire.
Par ailleurs, si vous voulez rassurer vos partenaires, c’est surtout parce vous voyez que votre SPL a du mal à démarrer. Alors que vous avez clôturé votre 2ème exercice social, force est de constater que les projets sont moins nombreux qu’espérés, que les travaux envisagés sont décalés et que vous peinez à trouver de nouveaux actionnaires. Votre SPL dont les charges d’exploitation sont trop importantes et atteignent près de 600.000€ en 2014 et pour laquelle vous envisagez encore la construction de bâtiments neufs à Grenoble, affiche une perte d’exploitation de 404K€, compensée par une partie des produits de placement de votre trésorerie à hauteur de 101K€.
Vous souhaitez et vous ne vous en cachez pas puisque vous l’écrivez en bas de la page 132, voler au secours de la SPL déficitaire en lui confiant une nouvelle tranche de travaux pour un montant de 5 millions d’€ par an sur 2 ans.
Au lieu de vouloir rassurer et de soutenir à bout de bras la SPL OSER peut être que vous devriez vous demander pourquoi votre SPL qui partait pourtant d’une bonne idée ne fonctionne pas ?
En réalité, il y a plusieurs raisons à cela.
Tout d’abord, le rôle principal de la SPL, au-delà, de permettre la mise en place outils d’interventions plus efficients, devrait principalement être de servir de détonateur par effet levier financier pour pouvoir faire de l’investissement massif dans la Rénovation Thermique et énergétique sur le patrimoine immobilier public de ses actionnaires.
Cet effet levier, devrait amorcer les projets, la SPL devrait abonder financièrement, avec ses fonds propres, aux projets des collectivités afin de diminuer les emprunts et ainsi de proposer des loyers attractifs. Mais dès lors que la SPL emprunte près de 90% du montant des travaux il est normal que les loyers soient rédhibitoires.
La SPL ne joue pas son rôle de levier financier.
Vous préférez faire du placement financier, qui vous permet il est vrai d’éponger vos dettes, et vous vous lancez dans la construction de locaux pour héberger votre structure, avec la volonté de valoriser vos actifs, au lieu de participer financièrement de façon conséquente au développement des projets, en abondant avec vos fonds propres.
De ce fait, vos conditions d’actionnariat et les loyers que vous proposez, dès lors que l’on se pose en gestionnaire sont plus que décourageants.
Au-delà du fait que la ville pour devenir actionnaire doive préalablement payer, à fonds perdus, un ticket d'entrée de l’ordre de 50 000€ (pour la ville de Chambéry par exemple), que les études que vous réalisez sont bien évidemment systématiquement facturées, de l’ordre de 6000 € par études, il faut aussi noter que la ville actionnaire doit ensuite, dès qu’elle décide de lancer les projets, abonder en fonds propres, en augmentation de Capital à hauteur de 10% du montant total de ses travaux. Bien évidement ces sommes seront bloquées dans le compte courant d’associés et pour ainsi dire également versées à fonds perdus.
Et le loyer ?
Aux couts des travaux se rajoutent bien évidemment une partie des frais fixes de la SPL, qui sont, on l’a vu exorbitants, + la facturation de ses services.
Ainsi, par exemple, la réhabilitation d’un groupe scolaire en cours (Baudin) pour un marché d’un montant total de 1.803.000 euros donnera un loyer annuel sur 20 ans de 133.029 euros soit un cout total pour la collectivité de 2.660.580 € donc une majoration de 857.580 €.
La réalité est que vos services coutent chers pourtant de nos jours les couts des travaux et taux bancaires sont très faibles.
A signaler : plusieurs opérateurs privés nationaux dans le cadre de leur BEA ont des loyers avec des rentabilités brutes bien plus basses que celles que vous proposez et cela sans toucher un apport des collectivités en cash de 10% de l'investissement.
Point II de votre délibération, un autre détail m’interpelle :
Vous souhaitez confier à la SPL une opération de réhabilitation et d’extension de l’internat du lycée Jean PERRIN sous la forme d’un mandat de maitrise d’ouvrage.
Je vous rappelle l’objet de la SPL : accompagner ses actionnaires dans la mise en œuvre de leur stratégie et de leurs projets de rénovation énergétique et thermique.
Son rôle est-il de faire de la rénovation énergétique ou de suppléer les collectivités dans la réhabilitation ou l’extension de leur patrimoine?
Non seulement l’extension d’un lycée ne rentre pas clairement dans le cadre de la rénovation énergétique mais de plus, la signature d’un mandat correspond à contrat de prestation de service.
La région RA a son propre service de maitrise d’ouvrage qui travaille sur la conception et la réalisation des lycées. La SPL n’a pas pour vocation de compenser la surcharge de travail de vos services.
Par ailleurs une prestation de service concernant l’extension d’un bâtiment sous forme de mandat pourrait entraîner des recours de la part des prestataires privés réalisant ces prestations au motif que ce n'est pas dans les statuts de la SPL et surtout pas lié à l'objectif de faire de l'investissement dans la réhabilitation thermique des bâtiments.
Ainsi, confier un mandat à la SPL, dans le seul but de faire rentrer de l'argent et de diminuer son déficit d'exploitation me semble douteux et risqué.
Par ailleurs, en agissant de la sorte vous validez le fait que votre SPL qui devrait être un véritable outil financier, devienne définitivement un outil technique lent, lourd, couteux et qui mobilise trop de techniciens. En réalité vous transformez votre SPL en un service technique des collectivités.
Enfin, vous nous proposez de modifier en conséquence votre pacte d’Actionnaires.
Mais quid, dans ce pacte, des règles du jeu ?
Nulle part, il n’est écrit, comment la SPL doit fonctionner ?
Quels sont les critères ouvrant droits à passage devant le comité d’engagements et d’investissements ?
Ce n’est pas au CEI d’arbitrer politiquement pour savoir si la SPL doit soutenir tel ou tel projet. Le CEI doit uniquement se poser la question du diagnostic technique d’un dossier.
Les règles du jeu sont donc indispensables pour cadrer le fonctionnement de la SPL et éviter tout dérapage et tout copinage politique. C’est même un élément essentiel du pacte d’actionnaires, pourtant rien n’est précisé de tel dans votre rédaction.
Jusqu’à quel montant la SPL doit s’engager sur une collectivité afin de garder des marges de manœuvre ?
Quel est le montant des fonds propres minimum et maximum que la SPL peut ou doit engager sur un projet : 10, 20, 30 %?
Quel taux de rendement interne par rapport à vos fonds propres souhaitez-vous ?
Quel rendement locatif brut minimum devez-vous offrir ?
A partir de quelle année la trésorerie d’un projet doit-elle être équilibrée ?
Quel poids les travaux d’efficacité énergétique doivent-ils avoir dans la répartition globale des coûts des travaux ?
Je vous rappelle, à nouveau, que la SPL d’Efficacité énergétique OSER « Opérateur de Services Énergétiques Régional» a, comme son nom l’indique, pour objet, d'accompagner ses actionnaires dans la mise en œuvre de leur stratégie et de leurs projets de rénovation énergétique et thermique performants.
Lorsque dans certains projets engagés, les travaux d’efficacité énergétique ne représentent pas plus de 30% des couts totaux d’investissements, … on peut légitimement se poser la question de l’adéquation de ces travaux avec l’objet de la SPL?
D’ailleurs Rhône-Alpes Énergie Environnement (RAEE) qui est l'association d'expertise sur ces domaines a déjà évoqué a plusieurs reprises en comité d'Engagements et d’Investissements ses inquiétudes concernant ces quotes-parts trop faibles sur la réhabilitation thermique. Pour eux aussi cela est un problème et surtout loin des objectifs initiaux de la SPL.
Aussi, si, comme évoqué au début de votre rapport, vous souhaitez réellement renforcer le contrôle analogue, compléter le pacte d'actionnaires par des règles du jeu claires, validées par chacun, comme celles que je viens de vous énoncer est incontournable c’est même l’élément clé d’un pacte d’actionnaires.
Malheureusement il n’y a rien de tel dans ce que vous nous proposez.
Comme d’habitude vous dépensez trop, sans aucune stratégie et vision d’avenir.
Si il est impératif d’avoir un niveau d’investissement conséquent, indispensable au maintien de notre économie, de nos entreprises, de l’emploi sur notre territoire, les choix de nos investissements doivent être responsables, constructifs, d’intérêt général. Ils doivent préparer l’avenir de notre région en termes d’aménagements et d’infrastructures.
Lorsque les travaux énergétiques sur les bâtiments publics atteignent des sommes dépassant le million d’euro pour au final des économies énergétiques espérées de l’ordre de 16.000 euros par an… soit sur 20 ans de 320.000 euros……. on peut se poser la question de la pertinence de vos choix d’investissements qui reposent plus, comme d’habitude, sur le dogme de l’écologie que sur la raison et les règles élémentaires de bon sens et de bonne gestion.
Ainsi, votre délibération est incomplète, non satisfaisante et votre SPL dérive de façon inquiétante tant sur son objet que sur ses finances.
Vous comprendrez Mr le Président, qu’à l’énoncé de nos explications nous voterons contre ce rapport."
Document à télécharger en cliquant ici : Intervention AAL SPL OSER 29 juin 2015
28 juin - Gala de la Salesienne GYM à l'Arcadium
28 juin - Triathlon d'Annecy, briefing, départ et remise des prix
27 juin - Gala de Gym de l'Allobroges
26 juin - AG du BTP 74 sur le thème de la Réforme Territoriale
23 juin - AG des Ecoles de Sport Anneciennes puis AG de l'ASPTT
22 juin - réunion du comité politique Rhône-Alpes Auvergne avec Laurent Wauquiez
21 juin - fête de la musique
20 juin - FC Annecy, rencontre des jeunes et repas canadien avec les familles
20 juin - remise des ceintures au club de judo d'Annecy et déjeuner des 65 ans du club
20 juin - AG du club de ski Annecy-Semnoz
20 juin - opération tractage sur les marchés d'Annecy en compagnie de Florent, George et Guillaume.
merci à eux.
19 Juin - réunion des partenaires du Club les dragons d'Annecy
19 Juin - AG du Centre de formation des Métiers de la Montagne à Thônes
18 Juin - Conseil régional - Commission "climat - énergie" présentation d'une opération citoyenne sur le climat.... Ou comment les écolos et Jean-Jacques Queyranne dépensent 70.000 euros pour interroger 150 citoyens tirés au sort et indemnisés pour donner leur avis sur le changement climatique... C'est un scandale !!!! Il faut impérativement que l'on gagne cette région pour stopper ces gaspillages.
18 Juin - Conseil régional - Commission Politique de la ville agitée avec la démission du président de la commission, Mr Otman El Harti, suite à des divergences et des conflits au sein du PS... Parti qui glisse, selon quelque élus présents, trop à gauche et trop au vert,.... Si, bien évidemment je ne partage pas les convictions de cet élu, je dois reconnaître qu'il fait parti des trop rares élus avec lesquels l'on peut échanger, dialoguer de façon sereine et constructive...
Pas certaine qu'il en soit de même avec son successeur.
MERCI à l'essor du 25 juin ...
et à Florent, Guillaume et George pour leur présence sur le marché
Cadrer plutôt qu'interdire et permettre à tout un chacun de pratiquer son sport ...
Merci au DL du 24 Juin 2015
MERCI à l'essor du 4 juin 2015
Qui mieux que les bénévoles incarnent le don de soi, le volontarisme, les principes forts du sport. Loin des scandales qui entachent l’image du sport, leur engagement est la meilleure réponse qui soit.
Ils sont plus souvent sous la pluie et au froid ou à assurer la logistique qu’à l’honneur. Et pourtant sans eux, que resterait-il du mouvement sportif annecien ?
Ils sont le maillon essentiel de la vie associative.
MERCI à l'essor du 4 juin 2015
Merci à l'essor d'avoir consacré une pleine page au Conseil Régional et à mes actions.
Mes 2 mandats, de maire-adjoint aux sports d'Annecy et de Conseillère Régionale sont très complémentaires et me permettent d'avoir une proximité et des contacts sans limite avec les annéciens et les Haut-savoyards. Au delà de mes convictions, le terrain, les rencontres, les contacts, ma ville et mon département ... sont le moteur de mon engagement.
Quelques corrections / cet article (de mon fait certainement) : la compétence de la région est la formation professionnelle et non continue... et l'Auvergne est bien un territoire de montagnes mais nos politiques montagnes sont différentes !