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Lors d'une cérémonie officielle au printemps l’Union National des Parachutistes de Haute-Savoie (UNP 74) par la voix de Jacques Delhumeau m’a lancé un beau défi : faire un saut en chute libre !!!
Afin d’être surs que je ne puisse pas me rétracter, ils m’ont remis un « bon cadeau » officiel et souhaité immortaliser l’événement par une photographie.
Défi relevé ce samedi 22 octobre.
Saut incroyable :
Chute libre de 4300 mètres à 1500 mètres à 200 km/heure !
En 1983 sort un livre De la reconquête écrit par un dénommé Caton !!
Caton se présente comme un homme politique de droite qui, suite à la défaite de 1981, règle ses comptes avec ses petits
camarades du RPR…
FAUX !! sous ce pseudonyme se cache en réalité André Bercoff, journaliste de gauche.
Pour ne pas être reconnu par ses amis journalistes, Bercoff envoie alors un de ses proches, qui accepte de le couvrir
et de mentir, pour faire la promotion de son livre à sa place…
Il est un peu plus de 15 heures à la reprise et déjà plus de deux heures de retard sur le planning.
Il n’y a plus le quorum (la moitié d’élus présents).
Il reste huit vœux à voter. Le conseiller spécial PRG (Parti radical de gauche) Thierry Braillard, constatant le
retard, dû en partie, dit-il, à « un rapporteur qui a fait une intervention de 45 minutes » (il s’agit du Vert Gérard Leras), et l’importance de certains vœux qu’il serait dommage de
débattre devant une assemblée à moitié vide, demande la levée de la séance.
Tout ce qu’il avance est incontestable. Il omet simplement de dire qu’un vœu des écologistes sur la centrale du Bugey
agace socialistes et radicaux qui avaient pourtant obtenu sa réécriture.
Mais leurs partenaires d’Europe Écologie- Les Verts ont fait volte-face au dernier moment pour revenir au texte
initial.
Sans quorum, sa discussion passe donc à la trappe.
Furieux de ce qu’il considère comme une manipulation et de sa mise en cause par Thierry Braillard, Gérard Leras, autre
conseiller spécial, hors de ses gonds, va agresser verbalement et avec une violence inouïe le radical de gauche.
Du rarement vu publiquement entre deux membres d’un même exécutif. « On n’aurait jamais osé être aussi violent »,
constataient, éberlués et ravis, des élus UMP.
Les tableaux confus, mal présentés et, soupçonnent-ils, incomplets. Le groupe UDC (Union de la droite et du centre) est
très agacé car il ne parviendrait pas à obtenir un état des lieux précis des déplacements des élus régionaux au titre de l’institution. Récemment, un second tableau leur a été fourni (le premier
date du mois de mai), dont la présentation est en effet un peu approximative et contient, de l’aveu même du cabinet du président, des erreurs matérielles. De plus, il a fallu des interventions
directes du vice-président aux Finances, Jean-François Debat - en séance plénière il y a quelques mois, puis plus récemment auprès de certains de ses collègues - pour que ces
débuts de déblocage aient lieu. Des élus très directement concernés par le sujet avaient plus que freiné les communications de ces états des lieux.
L’opposition ne dénonce aucune irrégularité financière, simplement une gestion qu’elle juge peu rigoureuse et des coûts
qu’elle trouve excessifs. Ainsi parmi les données qui lui ont été communiquées relève-t-elle, à titre d’exemple, un aller-retour dans la journée à Berlin du vice-président aux Relations
internationales à 1 531 euros en mai, prix jugé astronomique par les élus UDC. L’élu PS concerné, Bernard Soulage, se défausse sur les services : « C’est incroyable, j’ai été le premier
effaré quand j’ai découvert ce prix », dit-il. Ce qui fait sourire l’opposition qui évoque également un très récent voyage new-yorkais de la vice-présidente écologiste aux Solidarités
internationales, Véronique Moreira, « pour une heure à l’ONU », qui aurait coûté plusieurs milliers d’euros « mais, nous n’avons pas encore de communication précise sur le prix de ce déplacement
», dit-on à l’UDC. Mme Moreira nous a précisé qu’elle n’abusait en aucun cas des voyages et que lorsqu’elle se déplaçait c’était uniquement pour des missions politiques. En outre,
l’opposition aimerait bien savoir combien de personnes de l’administration accompagnent les élus à chaque déplacement. Du côté de la présidence de la Région, on admet que le système en cours ne
fonctionne pas très bien et que Jean-Jack Queyranne « étudie la possibilité d’optimiser les choses ». La priorité étant évidemment de réduire les coûts des déplacements.
Aujourd’hui, c’est le mini-réseau d’agences Sélectour, Bleu voyages, qui gère les déplacements internationaux de la
Région « avec en point fort une grande réactivité », précise-t-on dans l’entourage de J.-J. Queyranne, « et en point faible, des tarifs relativement élevés, surtout ces dernières années ».
La gestion d’agendas contradictoires par les élus pouvant les amener à déplacer au dernier moment leurs départs accroît les coûts. Peut-être qu’une plus grande rigueur de leur part amoindrirait
ce problème. Enfin, notons que les élus voyagent en classe éco pour les vols de moins de 5 heures et en business au-delà.
Jeudi dernier (13 octobre 2011) lors de la Commission Permanente au sein du Conseil Régional, grâce à notre groupe, la subvention destinée à la rénovation du stade d'Annecy avait pu être votée et attribuée.
Je vous rappelle que le front de Gauche et Europe Ecologie/les verts s’étaient opposés à cette subvention.
Heureusement, que nous avons pris, sur certains dossiers tel que celui du stade, le parti de ne pas faire de la politique politicienne d'opposition systématique mais de penser avant tout, à nos territoires et aux besoins des citoyens.
Aujourd'hui, alors que Thonon, ne peut financer la construction d'un nouveau stade, l'ETG peut quand même jouer en ligue 1 à Annecy, en attendant mieux...
Discours rassurant de Mr Besson après son élection à la tête du CRT.
Le tourisme en Rhône Alpes étant une manne pour l’économie et l’emploi, il aurait été dramatique que sa présidence soit
détenue par un ou une élue d’Europe Ecologie dont les idées généralement sectaires et rétrogrades auraient pu avoir des conséquences dramatiques pour nos territoires.
Heureusement, Mr Besson ose employer, sans avoir nausées et sueurs, des termes tels que développement des activités,
transport, développement touristique, … et a visiblement une bonne connaissance et une bonne vision de notre territoire régional.
Nous serons, bien évidement, vigilants afin que ses actions et décisions soient porteuses d’avenir et de croissance
pour tous les Rhône-alpins.