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La note de conjoncture, assez factuelle, a pour but de nous donner une vue d’ensemble de la situation économique de notre département.
Elle me permet de mieux connaître les difficultés et points forts de mon territoire et ainsi d’avoir encore plus conscience de l’importance de mes décisions politiques.
On entend aujourd'hui absolument tout et n'importe quoi concernant l'énegie, le nucléaire, ...
Certains partis politiques utopistes et dangereux sont prêts à dire et à faire n'importe quoi pour faire le buzz!
Si l'on arrête demain le nucléaire en France :
que vont devenir les 500.000 salariés qui en dépendent ?
comment allons nous éclairer nos maisons, nous chauffer, ....
et à quel prix?
N'étant pas une spécialiste de la question et voulant comprendre de quoi l'on parle, je me suis penchée sur ce dossier et ai essayé de regrouper un certain nombre d'informations sur le Mix énergétique en France. Vous trouverez, ci-dessous , quelques renseignements qui vous seront, je l'espère, utiles et vous permettront de vous faire votre propre idée sur cette question d'actualité.
Pourquoi il est utopique de dire que l’on peut sortir, rapidement, du nucléaire !!
Lors d'une cérémonie officielle au printemps l’Union National des Parachutistes de Haute-Savoie (UNP 74) par la voix de Jacques Delhumeau m’a lancé un beau défi : faire un saut en chute libre !!!
Afin d’être surs que je ne puisse pas me rétracter, ils m’ont remis un « bon cadeau » officiel et souhaité immortaliser l’événement par une photographie.
Défi relevé ce samedi 22 octobre.
Saut incroyable :
Chute libre de 4300 mètres à 1500 mètres à 200 km/heure !
En 1983 sort un livre De la reconquête écrit par un dénommé Caton !!
Caton se présente comme un homme politique de droite qui, suite à la défaite de 1981, règle ses comptes avec ses petits
camarades du RPR…
FAUX !! sous ce pseudonyme se cache en réalité André Bercoff, journaliste de gauche.
Pour ne pas être reconnu par ses amis journalistes, Bercoff envoie alors un de ses proches, qui accepte de le couvrir
et de mentir, pour faire la promotion de son livre à sa place…
Il est un peu plus de 15 heures à la reprise et déjà plus de deux heures de retard sur le planning.
Il n’y a plus le quorum (la moitié d’élus présents).
Il reste huit vœux à voter. Le conseiller spécial PRG (Parti radical de gauche) Thierry Braillard, constatant le
retard, dû en partie, dit-il, à « un rapporteur qui a fait une intervention de 45 minutes » (il s’agit du Vert Gérard Leras), et l’importance de certains vœux qu’il serait dommage de
débattre devant une assemblée à moitié vide, demande la levée de la séance.
Tout ce qu’il avance est incontestable. Il omet simplement de dire qu’un vœu des écologistes sur la centrale du Bugey
agace socialistes et radicaux qui avaient pourtant obtenu sa réécriture.
Mais leurs partenaires d’Europe Écologie- Les Verts ont fait volte-face au dernier moment pour revenir au texte
initial.
Sans quorum, sa discussion passe donc à la trappe.
Furieux de ce qu’il considère comme une manipulation et de sa mise en cause par Thierry Braillard, Gérard Leras, autre
conseiller spécial, hors de ses gonds, va agresser verbalement et avec une violence inouïe le radical de gauche.
Du rarement vu publiquement entre deux membres d’un même exécutif. « On n’aurait jamais osé être aussi violent »,
constataient, éberlués et ravis, des élus UMP.
Les tableaux confus, mal présentés et, soupçonnent-ils, incomplets. Le groupe UDC (Union de la droite et du centre) est
très agacé car il ne parviendrait pas à obtenir un état des lieux précis des déplacements des élus régionaux au titre de l’institution. Récemment, un second tableau leur a été fourni (le premier
date du mois de mai), dont la présentation est en effet un peu approximative et contient, de l’aveu même du cabinet du président, des erreurs matérielles. De plus, il a fallu des interventions
directes du vice-président aux Finances, Jean-François Debat - en séance plénière il y a quelques mois, puis plus récemment auprès de certains de ses collègues - pour que ces
débuts de déblocage aient lieu. Des élus très directement concernés par le sujet avaient plus que freiné les communications de ces états des lieux.
L’opposition ne dénonce aucune irrégularité financière, simplement une gestion qu’elle juge peu rigoureuse et des coûts
qu’elle trouve excessifs. Ainsi parmi les données qui lui ont été communiquées relève-t-elle, à titre d’exemple, un aller-retour dans la journée à Berlin du vice-président aux Relations
internationales à 1 531 euros en mai, prix jugé astronomique par les élus UDC. L’élu PS concerné, Bernard Soulage, se défausse sur les services : « C’est incroyable, j’ai été le premier
effaré quand j’ai découvert ce prix », dit-il. Ce qui fait sourire l’opposition qui évoque également un très récent voyage new-yorkais de la vice-présidente écologiste aux Solidarités
internationales, Véronique Moreira, « pour une heure à l’ONU », qui aurait coûté plusieurs milliers d’euros « mais, nous n’avons pas encore de communication précise sur le prix de ce déplacement
», dit-on à l’UDC. Mme Moreira nous a précisé qu’elle n’abusait en aucun cas des voyages et que lorsqu’elle se déplaçait c’était uniquement pour des missions politiques. En outre,
l’opposition aimerait bien savoir combien de personnes de l’administration accompagnent les élus à chaque déplacement. Du côté de la présidence de la Région, on admet que le système en cours ne
fonctionne pas très bien et que Jean-Jack Queyranne « étudie la possibilité d’optimiser les choses ». La priorité étant évidemment de réduire les coûts des déplacements.
Aujourd’hui, c’est le mini-réseau d’agences Sélectour, Bleu voyages, qui gère les déplacements internationaux de la
Région « avec en point fort une grande réactivité », précise-t-on dans l’entourage de J.-J. Queyranne, « et en point faible, des tarifs relativement élevés, surtout ces dernières années ».
La gestion d’agendas contradictoires par les élus pouvant les amener à déplacer au dernier moment leurs départs accroît les coûts. Peut-être qu’une plus grande rigueur de leur part amoindrirait
ce problème. Enfin, notons que les élus voyagent en classe éco pour les vols de moins de 5 heures et en business au-delà.